AccueilAccueil  Dernières imagesDernières images  RechercherRechercher  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  
fermeture du forum
Merci à tous pour tous ces beaux mois passés sur le forum. On souhaite bonne continuation à tout le monde!
Le deal à ne pas rater :
Sortie PlayStation 5 Pro : où précommander la console PS5 Pro ?
Voir le deal

Partagez

human punch bag (Mido)

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas
AuteurMessage
avatar
Invité
Invité

human punch bag (Mido) Vide
MessageSujet: human punch bag (Mido) human punch bag (Mido) EmptyVen 8 Déc 2017 - 7:43


human punch bag
L'enfant des rues est chez lui partout, ici où là bas, il  ne s'accroche pas au lieu comme le ferait le commun de mortel. C'est plus facile de prendre la fuite, lorsque son désire dévore ses entrailles, lorsqu'il est sur le point de lui céder, de couvrir son corps de son amour dévastateur, de laisser les emprunte sur sa bouche marqué son corps orgasmique. Elle le consume de l'intérieur, sa flamboyante princesse, sans jamais rien en savoir, il la déshabille en pensée à chaque fois qu'il la repousse. Il n'en sort pas indemne le môme, il se heurte à ses démon, il creuse son cœur nécrosé par les mensonges qu'il ne prononce que pour lui même. Pour cette fois, le Naharis s'en est retourné à l'île furieuse où résonne le cœur de cette armée polluxienne, là où la rage de vaincre noirci les cœur et obscurcis tout le reste. C'est plus facile de ne pas penser à elle lorsqu'il est en guerre pour sa liberté de pensé. Et pourtant, il ne peut s'en empêcher, parce qu'il à l'impression de la trahir, il, précieuse princesse des rues qui va à 'encontre de tout ses chevaux de batailles. Il laisse son regard vagabonder, cherchant un ancrage à cette réalité pour ne plus avoir à penser, à affronter les sentiments qu'il ne cesse de réfuter. Il a un sourire le sanguin, lorsque son regard se porte sur le monstre humain. Il impulsion contre son perchoir et il se retrouve au sol, il s'élance à la rencontre de celui qui a déserté depuis bien trop longtemps leurs rangs. Il s'en murmure des choses à son sujet, mais Milo l'insolent n'a jamais prêter attention à tout ce que l'on peut dire, il ne sait que trop bien à quel point les mots peuvent salir. Alors Alderal, tu t'es abandonné trop longtemps dans les bras de la belle Clysée? Il n'est pas encore à porté de main, le petit prince des rues. Il laisse un sourire salace venir peindre ses traits. Faut dire, c'est pas moi qui t'en tiendrais rigueur, elle sait comment faire plaisir aux hommes. Elle m'a fait de ces trucs de fou. Il s'avance encore, parce qu'il ne sait pas ce qu'il attend, l'enfant terrible, il ne sait pas ce que ses paroles provoquent chez le monstre polluxien. Imbécile petit orange qui sent le savoir, va se frotter à bien plus fort qu'il ne l'est.
PINNED UNDER THE WEIGHT 2017

Revenir en haut Aller en bas
humans
Ido Aderal
Ido Aderal
humans
‹ MESSAGES : 1329
‹ AVATAR : travis fimmel.
‹ CRÉDITS : (av) babine, (gif) unknown/tumblr
‹ COMPTES : marlys, eron.
human punch bag (Mido) Tumblr_ml4hx8rhbt1s7xoeto3_r1_500
‹ AGE : trente cinq années, environ, sans grande certitude.
‹ STATUT : piqué au vif par l'une de ses semblables même s'il se leurre, préférant prétexter un simple attachement à son sang plutôt qu'à sa personne.
‹ SANG : rouge, un simple rouge sang.
‹ METIER : tout et rien à la fois, il prend l'argent où il passe selon les besoins du moment.
‹ ALLEGEANCE : anders pollux, plus ou moins.
‹ POINTS : 507

Carnet de bord
Choses à savoir:
Relations:
Compétences:

human punch bag (Mido) Vide
MessageSujet: Re: human punch bag (Mido) human punch bag (Mido) EmptyJeu 14 Déc 2017 - 21:57

Des jours de marche, rallongés par les conflits faisant rage aux frontières, par les informations trop vagues et trop mystérieuses, offrant à Ido un monde nouveau, presque inconnu ou tout du moins inédit alors que ses yeux avaient été aveuglés par le vide pendant des semaines. Khora l'a laissé partir, certainement à contrecœur, il n'en doute pas une seconde et cette libération, à défaut de l'apaiser, aura au moins facilité son départ et empêché que leur relation ne s'engouffre encore plus dans de sinueux souterrains. Elle avait du comprendre, ou découvrir, qu'il n'y avait pas forcément que le monstre qu'elle lui dépeignait, qu'il n'y avait pas que l'homme sanguinaire mais bien autre chose, une humanité, bien réelle, que lui-même parfois se surprenait à oublier ou à enfouir de ses propres mains pour la cacher aux yeux des autres. Être humain, ici, était dangereux, qu'il s'agisse du sang ou du caractère et si Ido ne pouvait pas cacher l'un, il préférait alors se délester de l'autre, quitte à passer pour le monstre, qu'au fond, il n'était pas. C'était donc le monstre qui avait décidé de retourner auprès de l'armée, chose qui ne fut pas tellement aisée au départ, Azi Freinu ayant été rayé de la carte. Des jours de marche, à chercher, fureter, essayer de comprendre et de retrouver la trace de ceux qui ne souhaitaient pas être retrouvés. Il aura alors fallu une rencontre, un visage, presque familier pour qu'enfin, Ido reprenne le court de l'histoire. L'île d'Ivodoratzi donc, très bien, encore un lieu dont il n'avait jamais rien eu à foutre et qui, en prime, était à des lieux d'Aeristin. Ses soupirs emplissaient l'air, son agacement aussi et encore des jours de marche, des jours à galoper sur un cheval volé et mal en point, puis des heures à tanguer dans une barque dégueulasse dont les relents de la pêche du matin lui donnait envie de gerber. Tout ça pour qu'enfin, enfin, il pose le pied sur la terre ferme, sur un sable pas franchement chaud et qu'autour de lui il découvre l'impensable. Anders avait donc réussi, voilà donc son clan, son armée, sa base, rien qu'à lui. Ido n'avait finalement pas grand opinion sur tout ça, conscient qu'il était certainement attendu, ou pas d'ailleurs, ce qui dans les deux cas n'auguraient rien de bon. Il est là depuis tellement peu de temps Ido que les lambeaux qui lui servent de vêtements sentent la terre, la sueur et l'iode, un mélange asphyxiant ou presque dont il n'a qu'une envie : se débarrasser. Il est là depuis tellement peu de temps que la fatigue fait grincer tout son corps et que ses yeux ont perdus de leur éclat, ne ressemblant plus qu'à une vulgaire flaque d'eau salée. Il est là depuis peu de temps mais déjà, voilà qu'on vient à sa rencontre, pas le meilleur en plus, pas un ami ou pas vraiment. Le gamin est propre sur lui, pas le genre à avoir créché dans une caverne ou traversé tout ce putain de pays, pas le genre à avoir quoique ce soit en commun avec Ido, à moins que... La phrase commençait plutôt bien, malgré le ton agaçant du bellâtre, mais la fin, elle, accroche son regard comme un hameçon sur sa proie vivace. Ido est ferré, piqué au vif, comme si ce nom qu'il n'a entendu qu'une seule fois était devenu son seul et unique tabou. Abandonné dans les bras... Son esprit se paralyse. Comment sait-il ? Pourquoi sait-il ? Mais surtout, qu'est-ce-que ces putains de foutaises ? Mais la suite, elle, la suite... La suite est pire que tout, pire que n'importe quelle insulte au monde, pire qu'une lame plantée en plein cœur. A ces mots, à ce sourire, le sang rouge du lambda ne fait qu'un tour, bouillonnant si fort que son poing se sert et impacte avec force et sans la moindre retenue la mâchoire du mêlé. Les os craquent, la chair se colore et bientôt le sang jailli de sa lèvre fendue mais rien de tout ça n'émeut Ido. Il n'a rien commandé, rien décidé, tout se fait à l'instinct, alors que ses boyaux se tordent à l'idée de tous ses hommes ayant abusé de la jeune femme, vérité qu'Ido avait toujours préféré ignorer et que Milo venait de faire imploser dans son esprit torturé. Le coup, malgré sa violence, n'aura pas eu raison du gamin et alors qu'il est toujours là, planté devant lui, alors qu'il lui fait face, Ido l'attrape par le haut de sa chemise, faisant quitter son corps hybride du sol avant de le relâcher tel une vieille fripe sur le sable de cette île bien merdique. A présent supérieur, Ido se penche légèrement vers lui, le visage défiguré par le dégoût et les yeux injectés de rage. - Et ça t'as amusé, putain d'orange, de violer une gamine qui n'était pas elle-même hein ?  Me dis pas que t'étais pas au courant, t'as le même pouvoir que la traînée qui lui  fait ça... Il s'avance, d'un pas, refrénant une furieuse envie de lui faire exploser les couilles d'un coup de pied bien placé, avant de se rappeler qu'il a déjà assez à se faire reprocher sur ce campement sensé être le sien. - Je sais pas ce qu'on t'a dit, ce que tu as vu, mais t'avises pas de croire à la moitié de ces conneries. Et t'avises pas non plus d'avoir l'idée d'aller te vider les couilles avec elle. Sinon je te tue, vraiment, cette fois ci.
Revenir en haut Aller en bas
avatar
Invité
Invité

human punch bag (Mido) Vide
MessageSujet: Re: human punch bag (Mido) human punch bag (Mido) EmptyMar 19 Déc 2017 - 14:40


human punch bag
Foutu môme. Tête brûlée. Ce n'est pas un mauvais bougre, mais il n'a aucune idée de l'impacte des mots qu'il prononce. Il se pavane, inconscient, il ne sait pas ce que c’est, de tenir  quelqu'un, de tenir réellement à quelqu'un, ou du moins, si c'est le cas, il ne l'assume pas, peu habitué à ressentir ce genre de chose. Il ne comprend que trop tard, Milo, que la belle humaine est bien plus qu'une simple prostituée pour le monstre de chair. Il ne le comprend que lorsque le poing du furieux vient exploser contre son visage. Il chancelle, le gamin des rues, pourtant habitué à encaisser les coups, il ne s'attendait pas à ce que l'autre lui tombe dessus. Le grognement douloureux s'extirpe de ses lèvres alors que le goût de sang vient souiller sa bouche. Il crache au sol, l'enfant terrible, alors que ses doigts viennent palper sa peau rougie et brûlante, avec la curieuse impression que son cœur palpite sous l'épiderme abîmé. Il laisse échapper une juron Alors qu'il s'écarte, rôde autour de l'abominable qui l'a pris en traître. Le regard est assombrit, la colère grandissante, il ne se remet pas en question, le mêlé, rongée par la colère d'un ego blessé.  Et ça t'as amusé, putain d'orange, de violer une gamine qui n'était pas elle-même hein ?  Me dis pas que t'étais pas au courant, t'as le même pouvoir que la traînée qui lui fait ça... La mâchoire se crispe, réanimant la douleur. Les mots du furibond font écho en lui, sans qu'il n'en comprenne toute la mesure. Il n'arrive pas à penser, pas lorsqu'on lui colle un coup de poing dans la gueule, pas lorsqu'on éveille en lui la bestialité d'un môme qui n'a jamais appris à se débrouillé que part lui même, pas lorsqu'il s'en prend à la seule personne qui ne se soit jamais soucier de lui. Je sais pas ce qu'on t'a dit, ce que tu as vu, mais t'avises pas de croire à la moitié de ces conneries. Et t'avises pas non plus d'avoir l'idée d'aller te vider les couilles avec elle. Sinon je te tue, vraiment, cette fois ci. Il n'est pas patient, Milo. Il n'est pas non plus le genre de gars qui encaisse sans rien dire. Il ne supporte pas la façon dont il lui parle, comme s'il n'était qu'une merde/ il n'est rien, il n'est personne pour le traiter de la sorte. Il grogne, furieux animal, il rôde autour du lambda comme une bête prête à fondre sur sa proie. Tu crois que j'ai besoin de me fier à ce qu'on me dit, quand je peux directement aller dans ta tête? Il s'insinue dans sa crâne, se laisse glisser dans ses pensées, sans même y réfléchir, il laisse sa rage se déverser dans ses manœuvres improbables. Il n'est pas comme Feyre, il n'est pas aussi habile, non, lorsqu'il se glisse dans les esprits, il ne fait pas dans la dentelles, il détruit tout sur son sillage, véritable boucher de l'esprit. Il glisse en lui. Il essaye de s'accrocher à l’enseignement de sa déesse orange. Il le soumet, s’accroche à la rage de l'autre pour déceler ses pensées les plus sombres. Il n'est pas délicat, l'enfant, son emprise impose à Aderal une souffrance qui le cloue au sol. Il en profite, le vil, pour venir lui décrocher un coup de poing. Un donné pour un rendu.  Il s'écarte, il n'est pas pressé de se voir confronter à lui à nouveau. Il ne s'imagine pas des dégâts qu'il a fait dans l'esprit du sans pouvoir.  Va te faire foutre connard, tu crois être le seul à à respecter les putes, mais aller se les taper quand même? J'lui ai jamais fais de mal à Clysée. Pauvre con, tu t'attendais à être le seul et l'unique? Il crache à nouveau, le sang rougissant la salive qu'il repend au sol. Et t'avises pas une seule seconde d'insulter ou bafouer Feyre devant moi, parce que peux te jurer que je retourne dans ton crane te foutre en l'air... Et je crains de ne pas être aussi doué que la belle que tu salis.
PINNED UNDER THE WEIGHT 2017

Revenir en haut Aller en bas
humans
Ido Aderal
Ido Aderal
humans
‹ MESSAGES : 1329
‹ AVATAR : travis fimmel.
‹ CRÉDITS : (av) babine, (gif) unknown/tumblr
‹ COMPTES : marlys, eron.
human punch bag (Mido) Tumblr_ml4hx8rhbt1s7xoeto3_r1_500
‹ AGE : trente cinq années, environ, sans grande certitude.
‹ STATUT : piqué au vif par l'une de ses semblables même s'il se leurre, préférant prétexter un simple attachement à son sang plutôt qu'à sa personne.
‹ SANG : rouge, un simple rouge sang.
‹ METIER : tout et rien à la fois, il prend l'argent où il passe selon les besoins du moment.
‹ ALLEGEANCE : anders pollux, plus ou moins.
‹ POINTS : 507

Carnet de bord
Choses à savoir:
Relations:
Compétences:

human punch bag (Mido) Vide
MessageSujet: Re: human punch bag (Mido) human punch bag (Mido) EmptyDim 31 Déc 2017 - 11:32

La rage, Ido l'a toujours connue. Compagne d'aventure, alliée des moments difficiles et ombre de ses nuits, elle a toujours été présente en lui, depuis son enlèvement, depuis ces années à se faire battre et traiter comme un vulgaire animal, depuis son premier meurtre ensanglantant encore ses mains rugueuses. Elle est là, tapie dans la noirceur de son âme, prête à sortir de ses gonds à la moindre provocation, au moindre mot de travers, exacerbée par toute une vie d’injustices et de dégoût. Pourtant, celle qui l'anime actuellement est différente, surprenante, trop inédite pour qu'Ido la comprenne et surtout, la canalise, déchaînant une passion ravageuse dont Milo est devenu la victime. C'était trop, d'entendre ça, d'imaginer cet homme, personnification de tous les autres, avec elle quand elle n'était qu'un oisillon en cage, sans défense, sans aucun moyen de de se sortir de cette condition abjecte et sordide. Milo manipulait les esprits, il était donc impensable pour Ido qu'il ait pu ignorer son état, idée l'obsédant tant et si bien qu'il ne pouvait envisager le contraire. Le frapper ne l'aura alors même pas soulagé, tant le tsunami intérieur est puissant. Ça le brise Ido, de voir les siens traités de la sorte, de les voir forcés de courber l'échine face à des maîtres et à présent des mêlés prêts à tout pour plus d'or ou plus de pouvoir. Ido, lui, n'a jamais voulu des deux. Il n'a jamais demandé à vivre cette vie de violence et de haine, bien qu'il ait été taillé pour, vraisemblablement. Il ne s'attend alors pas à grand chose de la part de Milo, si ce n'est un retour de crocher inévitable, une réplique amère mais il avait pensé à tout, sauf à son esprit, aveuglé par la haine et le mépris, ne voyant face à lui qu'un homme égal à lui. Alors lorsque Milo s'insinue dans sa tête, lorsqu'il se fraie un passage, arrachant tout sur son sillage, Ido recule, enserrant entre ses mains rêches son crâne qui semble sur le point d'exploser. La douleur est insupportable telle des milliers d'aiguilles s'enfonçant dans son cerveau bouillonnant. Il le sent passer, il le sent tout briser, il le sent lacérer son âme, ses souvenirs, violant ce qu'il a de plus intime et de plus cher. Posant un genou à terre, ses yeux se ferment avec vigueur, reflétant la souffrance physique et psychique qu'il endure. Il n'arrive même pas à jurer, ni même à crier, se concentrant sur cet étranger en lui, essayant de le chasser sans même arriver à l'atteindre. Il va trop vite Milo, il va trop loin et Ido est impuissant face à un pouvoir qui le dépasse et le navre, pensant à Clysée, ou tout du moins essayant, le cœur déchiré d'imaginer qu'elle a du endurer ça en plus de tout le reste. Puis tout s'arrête, d'un seul coup, tout s'arrête et la tempête s'apaise dans son crâne, laissant découvrir les dégâts catastrophiques que le mêlé a provoqué, sans qu'Ido soit pour autant capable de les déceler. Il sent bien quelque chose mais à cet instant, il ne sait pas quoi, pas comment, se prenant à présent en pleine face les vociférations de Milo. Il l'écoute à peine, les yeux baissés vers le sol, se remettant de cette intrusion maladive qui lui donne à présent la nausée, les dents rougies par le coup qu'il vient de récolter. Il l'écoute et finalement, lâche un rire noir et malsain, si différent de d'habitude, alors que cet idiot vient de lui donner une information capitale, une information qu'Ido ne recherchait même pas et qu'il vient de se faire offrir sur un plateau d'argent. - Feyre alors... C'est son nom... Il rit encore, relevant son visage arborant à présent une expression pernicieuse, presque satanique. - T'es vraiment trop con, t'as pas vu en rentrant dans ma tête que je ne savais rien d'elle ? Et il rit encore. - Merci pour ce nom, j'imagine qu'accolé à sa réputation, elle devrait être facile à trouver maintenant... Et je me ferais un plaisir de lui faire payer tout ça... Les vertiges ayant cessé, Ido se relève, imposant sa carrure à la vision du mêlé qui venait de faire la boulette de sa vie. Il sait qu'il prend le risque d'une nouvelle intrusion mais il s'en fiche royalement, pas maintenant qu'il a compris que Milo n'était qu'un piètre orange tout juste bon à un travail de boucher.
Revenir en haut Aller en bas
avatar
Invité
Invité

human punch bag (Mido) Vide
MessageSujet: Re: human punch bag (Mido) human punch bag (Mido) EmptyMar 9 Jan 2018 - 15:07


human punch bag
Son rire est détestable, teinté d'une folie sauvage, d'une violence à peine soupçonnée. Il fronce les sourcils, le sale môme, à la vue de ce dément de chair et d'os. Les poings du mêlé se referme alors que sa mâchoire se crispe avec férocité, son regard reste ancré sur la carcasse de son furieux adversaire, refusant de le quitter du regard, alerte face à la menace que l'humain représente. Feyre alors... C'est son nom... Le cœur du fougueux s’arrête, le temps d'un battement, alors que le monstre s'esclaffe, son ricanement teinte horriblement, vient cogner douloureusement dans le crâne du jeune mêlé. Imbécile. Il n'aurait pas dû se laisser ensevelir par cette rage, cette colère, il aurait dû prendre le temps de penser avant de cracher son venin, servant la déesse orange au main d'un de ses ennemis. Il rôde autour de l'homme, tel un fauve autour de sa proie.. Mais était-il encore le prédateur? Rien n'était moins sur. Il marche, fait des allée et venue, le regard rivé sur l'homme dépourvu de pouvoir, prêt à riposté à la moindre attaque. Mais c'est une toute autre sorte de joute que lui livre l'Aderal, puisqu'il use les mots pour atteindre le petit prince des bas fonds.T'es vraiment trop con, t'as pas vu en rentrant dans ma tête que je ne savais rien d'elle ? Il voudrait lui faire ravaler ses mots à coups de poing, lui ravager le corps, le tabasser jusqu'à en oublier sa propre culpabilité qui empoisonne à présent son sang, l'empêche de respirer. Il ne peut laisser le féroce partir traquer sa précieuse feyre. Elle avait été la première à lui manifesté un réel intérêt, à le libérer des chaînes dévastatrices qui emprisonnait son pouvoir. Elle était la première à l'avoir tiré de sa torpeur, lui insufflant la confiance de se redresser, de se battre avec tout les moyens qu'il avait en sa possession. Il ne pouvait trahir la sublime créature, pas alors qu'elle lui avait tant donné. Il se laisse envahir, Milo, ensevelir par une haine destructrice. Merci pour ce nom, j'imagine qu'accolé à sa réputation, elle devrait être facile à trouver maintenant... Et je me ferais un plaisir de lui faire payer tout ça... Il se redresse, victorieux, attisant la colère du garçon orange qui le nargue toujours, rôdant autour de lui sans jamais s'arrêter. C'est une bête blessé, par la culpabilité, par la crainte qu'il n'ait livré la seule personne qui l'ait fait se sentir un peu plus que ce vulgaire gamin des rues. Il laisse échapper un grognement, reste accroché à une distance raisonnable, hors d'atteinte de ses pas, mais suffisamment pour approche son esprit déjà abîmé par un premier assaut. L'ancien esclave le sous-estimait, parce que son don n'était pas suffisamment contrôlé pour tirer les bonnes informations, mais il se leurrait, il ignorait à quel point un boucher comme ce môme là pouvait faire des ravages dans l'esprit d'autrui. Alors il sourit, les traits déformés par la fureur. En imaginant que tu puisses encore te souvenir de quoi que ce soit... Le rire s'élève, aussi démen que celui de l'autre. Un rire a s'en damné. Les yeux zébré par le rouge d'une rage qu'il ne contrôle plus. J'te laisserais pas l'atteindre, Aderal. il revient dans le crâne de l'humain, recherchant aveuglément dans ses pensées là où demeure le prénom de son précieux mentor. Il se perd, dans la cervelle déjà abîmée du guerrier, sans parvenir à rien, aveuglé par le chaos qui étreint ses entrailles. Il finit par en sortir, essoufflé, il se penche pour venir prendre appuie sur ses genoux alors que son regard teinté par ses enfers viennent heurter le soldat de Pollux. J'te le ferais payer qu'il grogne, à peine satisfait de lui avoir arraché de nouvelle souffrance, sans pour autant avoir rien obtenu.
PINNED UNDER THE WEIGHT 2017

Revenir en haut Aller en bas
humans
Ido Aderal
Ido Aderal
humans
‹ MESSAGES : 1329
‹ AVATAR : travis fimmel.
‹ CRÉDITS : (av) babine, (gif) unknown/tumblr
‹ COMPTES : marlys, eron.
human punch bag (Mido) Tumblr_ml4hx8rhbt1s7xoeto3_r1_500
‹ AGE : trente cinq années, environ, sans grande certitude.
‹ STATUT : piqué au vif par l'une de ses semblables même s'il se leurre, préférant prétexter un simple attachement à son sang plutôt qu'à sa personne.
‹ SANG : rouge, un simple rouge sang.
‹ METIER : tout et rien à la fois, il prend l'argent où il passe selon les besoins du moment.
‹ ALLEGEANCE : anders pollux, plus ou moins.
‹ POINTS : 507

Carnet de bord
Choses à savoir:
Relations:
Compétences:

human punch bag (Mido) Vide
MessageSujet: Re: human punch bag (Mido) human punch bag (Mido) EmptySam 24 Fév 2018 - 17:24

Sa stupidité n’avait d’égale que son incompétence. Il pouvait frapper, il pouvait s’introduire dans son crâne, il pouvait le briser, Ido n’était plus à quelques cicatrices, visibles ou non, sur son corps déjà marqué par la vie et sa violence incessante. Feyre. Il n’en fallait pas plus pour qu’Ido se satisfasse de cette entrevue musclée, arborant un sourire victorieux presque dérangeant sur son visage défiguré par la haine. La trouver serait un jeu d’enfant, l’affronter certainement un peu moins mais en plus de lui fournir un nom, Milo venait également de lui octroyer une petite séance d’entraînement qui, il le savait, ne serait pas de trop quand il s’agira de s’approcher de la si douée Feyre, tisseuse de rêves et autres cauchemars abjects. La douleur sinueuse parcourait encore son crâne mais libéré, temporairement, de l’emprise de l’orange, Ido se délectait de ce revirement de situation plus que jouissif. Le gamin aurait mieux fait de réfléchir dans sa propre tête avant de s’immiscer, sans invitation, dans celle d’un autre tout comme il s’était vraisemblablement invité dans le corps d’une femme faite muette par le démon en personne, idée qui rendait à présent Ido encore plus fou de rage quand le souvenir de son refus s’imposait à présent à sa propre vision, ce soir où elle lui avait dit non, préférant rester captive alors qu’il lui ouvrait la porte de la liberté. Non il n’était pas un chevalier servant mais tout semblait différent avec elle, trop différent, trop pour qu’il laisse tomber si vite et qu’il n’abandonne cette quête presque suicidaire, tout comme la scène passée venait de le confirmer. Crachant au sol le sang qui s’était écoulé dans sa bouche, le lambda savoure son petit triomphe, observant le gosse se débattre avec une force qu’il peine lui-même à dompter, se perdant dans une rage qui semble le consumer. Aucune de ses menaces ne font trembler Ido, pas quand il sait à présent que malgré la douleur, il se relèvera face à ce gringalet trop enclin à briller pour réellement le mettre à terre. Alors il rit Ido, de ses provocations, de ses invectives, il rit et attend, bien sagement, qu’il ne retente de lui soutirer cette information qu’il a pourtant gravée dans sa carne, prêt à se battre pour défendre ce petit bout de rien qui pourtant le rapproche encore un peu plus de son objectif premier. – Essaie alors… qu’il lui lance, avec dédain, se préparant au nouvel assaut vengeur du mêlé qu’il sait déjà plus violent tant il a attisé sa colère et lorsque la douleur, plus vraiment inconnue mais toujours aussi piquante, l’assaille, Ido se recroqueville sur lui-même, enserrant son crâne dans ses mains rugueuses comme pour s’en faire un casque dont la chair ne le protège pourtant en rien. Il se débat, intérieurement, psalmodiant ce nom comme une prière pour s’en imprégner et ne pas le laisser s’en emparer, un nom qui résonnera finalement encore quand Milo se retirera, nouvelle preuve de son peu d’efficacité dans un domaine qui lui est pourtant inné. Reprenant son souffle, le regard du lambda se dépose à nouveau sur Milo dont la rage transpire à des kilomètres, une rage qui n’effraie pas Ido, pourtant complètement déphasé par le viol de son propre esprit. – Me le faire payer ? Il faudra encore que tu puisses m’atteindre… Un nouveau rire s’échappe, glaçant, comme arraché des enfers. – Rentre dans ma tête Milo, frappe moi-même si ça peut t’aider à t’endormir le soir mais crois-moi, il m’en faudra bien plus pour m’arrêter, pour m’empêcher de lui briser le cou et de la saigner jusqu’à ce qu’elle soit incapable de s’insinuer dans n’importe quelle tête. Je lui dirais, si tu veux, je lui dirais que tu penses bien à elle et que tu as essayé… Seulement essayé de m’en empêcher, avant de te faire une fleur et de te dispenser de ses représailles, pour de bon. Les paroles sont crues, dures, violentes, des paroles qui l’étonnent lui-même mais qui, étrangement, le galvanisent. Quelque chose est différent, c’est sûr, l’œuvre d’un boucher malheureux qui, en souhaitant prouver sa supériorité, aura finalement fait tout le contraire.
Revenir en haut Aller en bas
avatar
Invité
Invité

human punch bag (Mido) Vide
MessageSujet: Re: human punch bag (Mido) human punch bag (Mido) EmptyMar 27 Mar 2018 - 20:09


human punch bag
Me le faire payer ? Il faudra encore que tu puisses m’atteindre… Un rire détestable qu'il lui crache à la gueule, qui sonne comme une insulte. Il bouillonne Milo, rage et colère exacerbé qui le consume tout entier, ne laissant que très peu de place pour tout autre forme d'émotion.  Rentre dans ma tête Milo, frappe moi-même si ça peut t’aider à t’endormir le soir mais crois-moi, il m’en faudra bien plus pour m’arrêter, pour m’empêcher de lui briser le cou et de la saigner jusqu’à ce qu’elle soit incapable de s’insinuer dans n’importe quelle tête. Je lui dirais, si tu veux, je lui dirais que tu penses bien à elle et que tu as essayé… Seulement essayé de m’en empêcher, avant de te faire une fleur et de te dispenser de ses représailles, pour de bon. le rire de l'enfant mêlé, en écho à l'inhumain qui lui fait face. Il n'y a plus qu'une rage assourdissante entre les deux soldats de Pllux, aspirant à leur destruction mutuelle. Il ne reculera devant rien pour agenouiller le colosse, le démonter, pensée par pensée, jusqu'à ce qu'il ne reste de lui qu'une carcasse vide, dont l'âme à été tellement manipulée et abîmée par les pouvoir de l'orange qu'il n'est reste rien, qu'une vague soupçon d'existence, à peine vivant, sans pour autant être mort. Un cris, brutal, bestial, son pouvoir est sur le point de dégueuler de lui pour fondre sur l'ancien esclave, mais une silhouette se dessine devant lui, barrage invisible entre lui et l'autre. Il croise les orbes ambrées d'une fille au bracelet de jade. Elle le toise, laisse son regard s'enfoncer dans le sien, imprégner son âme. Elle n'a pas besoin de parler, Nimué, elle a ce pouvoir étrange sur l'enfant terrible des rue. Elle s'avance avec lenteur, vient déposer sa main contre l'avant bras du furieux alors que son regard se détourne pour se tourner vers Ido. Un sourire vient fendre les lèvres de la rouquine. Tu as le chic pour faire des entrées remarquées Mh. Ca ne t'embête pas que je te l'emprunte? Question rhétorique, car déjà, elle attire le sale môme dans son sillage, ne lui laissant prononcé que l'ombre d'une grognement. Je suis ravie de te revoir parmi nous. Qu'elle lâche avec désinvolture.
PINNED UNDER THE WEIGHT 2017

Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé

human punch bag (Mido) Vide
MessageSujet: Re: human punch bag (Mido) human punch bag (Mido) Empty

Revenir en haut Aller en bas

human punch bag (Mido)

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut
Page 1 sur 1

Sujets similaires

-
» (sam) at what point does a human become a monster ?
» being cruel, just to be human (md) - délai 31/10
» all monsters are human (feymara)
» I’m only human. And I bleed when I fall down. (Ludmilla)
» (Azriel) - You're part of a machine, you are not a human being - délai 03/11

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
PINNED UNDER THE WEIGHT :: anciens rps :: saison 2-