prénom, nom ‹ | DIOVENYS | On fera trembler le sol comme les grondements de nos volcans. Elle porte le prénom vestige d’une arrière-grand-mère. | OATHBRIDGE | Ton dos s'ennuie de voir filer des armées de pâquerettes. Les douces couleurs de sa terre, de son héritage pastoral. Nom qu’elle a maudit à l’âge ingrat, trop modeste pour ses yeux immenses jusqu’à ce qu’elle comprenne la fierté d’être la chaire d’un empire. Bras fleuri de Eartanera, mademoiselle se rêve la nuit en altesse d’un royaume où la poussière et la boue se transforment en or, où les perles de pluie se changent en cristaux, où ses étoffes font pâlir les couchers du soleil. Le matin venu, les rêves ont fanés et le goût de l’obsession impériale saigne sa bouche. Diovenys la princesse en mal de tout, qui s’entête à trôner sur les clairières, à charrier le vent de sa blondeur insolente et de ses rires épineux pour crever les cieux. âge ‹ réponse ici date et lieu de naissance ‹ réponse ici  statut matrimonial ‹ réponse ici  sang ‹ réponse ici métier ‹ réponse ici maître de ‹ expliquez sa place en tant que maître et qui était son adiutor (s'il y a). élément ou don ‹ réponse ici allégeance ‹ réponse ici (préciser si appartenance à un mouvement) compétences ‹ réponse ici, vous devez en avoir 3 localisation actuelle ‹ réponse ici groupe ‹ réponse ici avatar et crédits ‹ célébrité + ice and fire.

anecdote 01 ‹ ( Eartanera mon amour ) Ses souvenirs les plus fastes viennent de l’époque où elle pliait ses genoux dans les champs, où elle portait les graines aux animaux dans le creux de ses paumes, où elle creusait ses reines à se tordre pour glaner les fruits à la cime des arbres. Dio, oisillon frêle en apesanteur dans les vapeurs bucoliques adorait ces moments d’escalade vers le plafond du monde, quand elle se barbouillait avec les teintes de la nature. Dio elle a égrainé des fragments de son âme dans la terre, c’est là qu’elle a grandi, c’est là qu’elle a éclos au milieu des chiendents pour concurrencer les roses. C’est une fière enfant de la nation dont les paysages sont gravés au plus profond de ses veines. Eartanera, sa première histoire d’amour, son paradis artificiel où les Oathbridge sont les gardiens des exploitations agricoles. anecdote 02 ‹ (Mourir sous les étoiles, pas dans de petits draps) Toutefois les songes de Dio ont d’autres nuances, des nuances qui brillent si fort qu’elle en est tombée dans des vertiges inaccessibles. Dans l’espoir de toucher un enfer séduisant, d’entrer dans la danse des jolies choses. Dio elle aurait pu se contenter des cadeaux de la nature, du silence des astres qui valsent dans son cœur, rejoindre l’au-delà en ayant accompli la noble mission de remplir les estomacs. Mais le bonheur ce n’est jamais assez pour l’enfant malade d’un monde qui lui résiste. Dio aux ambitions sauvages, aux idéaux de gloire, aux orbes fardés de ténacité. Le granite, la couronne. Devenir la princesse aux silhouettes qui narguent les étoiles, avoir tous les plus beaux objets, devenir une voleuse de regards. Voilà le rêve le plus cher de la paysanne qui est devenue femme dans l’ombre de la royauté. A grappiller de la lumière pour devenir la plus précieuse des fleurs. Et lorsque sa famille a été anoblie et qu’elle a été éclaboussée de lumière, l’addiction de Dio pour le paraître et le pouvoir a commencé insidieusement à bouffer ses artères, jusqu’à viser le cœur, jusqu’à prendre le cœur.  anecdote 03 ‹ ( We emotionally manipulated each other until we thought it was love.) ADONIS Son prince maudit, son fiancé promis. Celui qui aurait dû l’élever dans les stratosphères, qui aurait du lui ouvrir les portes sacrées d’un odyssée qu’elle reluque à se dévisser les prunelles. Celui qu’elle mirait, adorait pour tout ce qu’il représentait, pour la promesse d’un idéal auquel elle n’avait pas encore tout à fait le droit. Adonis, l’enfant infernal qui a transformé ses espoirs en carnages, qui a repeint ses fantasmes à coup de meurtrissures. Il lui a fait connaitre les ressacs les plus violents de son palpitant, il lui a enfoncé dans la gorge le goût amer des rêves qui se brisent. La répudiation troquée contre l’humiliation. Abandonnée pour le feu, l’ultime outrage.. Adonis elle le regardait avec l’amour des intéressés pourtant dans le fond, dans les lueurs prohibées de ses iris, elle avait de l’affection pour lui, elle y croyait, qu’un jour, peut-être, l’envie se changerait en amour, que l’émulation laisserait place à une passion plus tendre. Cette illusion s’est fanée avec les autres, les lueurs se sont éteintes. Diovenys elle n’a plus que l’encre de ses yeux à lui offrir, ses sourires dégoulinant de regrets, ces « et si », « et si un jour les rêves se réalisaient », « et si toi et moi on avait été des tornades plutôt que des anticyclones. »  anecdote 04 ‹ (  I dance because it makes me want to explode ) Dio c’est les petits pas de danse, la musique qui louvoie contre sa peau. Dio elle a le feu au corps, la mélodie qui soulève ses ventricules diaboliquement et possède son corps de nymphette. Dio elle se dandine en criant à l’aide. Les braises dans le sang, elle dégoupille sa féminité, carbonise les pauvres yeux qui s’égarent sur les falaises interdites de ses courbes. Dio elle danse sinon elle meurt. Dio elle s’essouffle pour ne pas bruler vive. Dio c’est toujours pieds nus qu’elle tangue impie, à s’écorcher. Vieille habitude venant de l’enfance, d’une gamine déchaussée qui courrait à perdre haleine dans les fresques d’Eartanera. Dio c’est les sensations avant la raison, les talons qui s’enfoncent dans la terre humide, les particules qui chatouillent ses orteils quand ses billes océaniques se perdaient au dela du rêve. Dio elle n’a pas peur de salir sa grâce. Il est rare de la voir souliers aux pieds. anecdote 05 ‹ écrire ici anecdote 06 ‹ écrire ici anecdote 07 ‹ écrire ici anecdote 08 ‹ écrire ici anecdote 09 ‹ écrire ici anecdote 10 ‹ écrire ici