pseudo et prénom ‹ ultraviolences, bé âge ‹ 23 yo comment as-tu trouvé le forum? ‹ bazzart ofc et puis sa renommée  pays ‹ france/idf fréquence de connexion ‹ minimum 5j/7 votre avis sur le forum ‹ biotifoule    smiley préféré‹   gif qui décrit le mieux votre personnage‹

Spoiler:

La nuit était sombre. L'astre lunaire ne faisait pas grâce de sa présence. Il n'y avait rien, rien d'autre que l'obscurité dévorant chacun s'y aventurant. Et puis, il y avait cet homme. Le sceau royal était comme marqué sur son visage tant sa grâce irradiait les ténèbres l'entourant. Son pas était déterminé et son visage suffisamment caché pour que personne ne puisse le démasqué. – We're almost there your Majesty. Les deux hommes tournèrent en direction d'une ruelle déserte. Bien loin du luxe habituel, Adrien Oshun poussa cette misérable porte en bois. Et c'est là qu'il vit celle lui ayant volé son cœur et son âme. Celle qu'il aurait voulu épouser, mais la Loi reste la Loi. Il est empereur, elle est mêlée. Pourtant, c'est auprès d'elle qu'il veut être. – I'm here. I'm right here. Sa main vient caresser le front humide de son amante alors que ses cris se mélangent à ses pleurs. Le temps semble s'être arrêté alors qu'il s'apprête à devenir père, une fois de plus. – You can do it, love. Et puis tout s'accélère. Des cris aigus viennent résonner entre les murs du taudis. La joie embaume la pièce alors que le nourrisson s'agite entre les bras du médecin. Rapidement, l'enfant est placé contre le sein de sa mère. Instant de bonheur pur et Adrien oublie tout, ses responsabilités, son statut, sa femme. Puis c'est le sang souillé qui s'écoule sur les draps maculés. – What's happening? By the Seven, help her! La panique peut se lire dans son regard alors qu'il est impuissant face à la scène se jouant sous ses yeux. Délicatement, l'enfant trouve place dans ses bras alors que Cassandre souffle ses derniers mots. – Svea, call her Svea. Take care of her, please. I beg you.. Doucement, son bras se laisse tomber dans le vide en même temps que la vie quitte son corps. Un silence religieux s'instaure et chacun s'enfonce dans un mutisme dangereux. Finalement, les cris du nouveau-né brisèrent cet instant de recueillement. – Your Highness, we can't do anything anymore. We must go and protect the child. Un dernier regard, rempli d'une douleur immense, alors qu'un trou béant vient de se former, pour ne jamais plus cicatriser. Adrien Oshun dépose le nourrisson dans ce qui aurait dû être son berceau. – Tiberias, give me some paper and a pen, please. D'un geste simple, l'empereur déclara Svea comme étant sa fille, une Oshun digne, elle aussi, de son héritage. – This document has to remain secret. At least, until she reaches her majority. Un petit sac rempli d'or tomba lourdement contre la table alors que le médecin hocha de la tête, acceptant le marché.
Enveloppée dans des draps, la gamine ne quitte pas les bras de son paternel. Les deux hommes se hâtent jusqu'au bordel le plus proche avant de finir par s'arrêtez. – Take her Tiberias. La tête rousse laissa échapper quelques cris de protestation avant de finir par se calmer. – Give her to Ann with this bag of gold. I know she will take good care of her. And please, tell her she's named Svea. This is extremely important. L'Adiutor hoche doucement de la tête avant d'attraper le sac d'or et de rentrer dans l'établissement. Farewell mon enfant, que les Sept te protègent.


Les pas se faisaient légers alors qu'une minuscule chevelure rousse vagabondait et slalomait entre les jambes d'Ann. Un rire cristallin et si pur glissa sur ses lippes rosées alors que la tenancière du bordel lui tapotait le haut de sa tête. Véritable rayon de soleil contrastant avec le climat  ambiant et les activités des femmes s'y trouvant. La gamine n'avait jamais le droit d'aller plus loin que sa chambre mais elle semblait s'y être faite. Les questions étaient de plus en plus rares et chacun des créatures divines lui faisaient office de mères. Une journée lambda pour la princesse en devenir. L'innocence pouvait se lire sur son visage alors qu'elle gambadait dans le paradis de la luxure. Instant d'accalmie rapidement balayé alors que deux gardes poussent violemment la porte du bordel. – Svea, go to your room and stay hide under your bed, is that clear? L'enfant hoche de la tête avant d'aller ramper jusqu'à sa cachette. Ann se précipite ensuite au rez-de-chaussée tout en revêtant son plus beau sourire. – Gentlemen, what gives me the honor of your presence? If i knew you were coming, i would have choose my best girls.. Lentement, la mante religieuse passe son bras autour d'un des gardes tout en lançant un regard des plus suaves. Elle ne montre rien mais son palpitant bat si fort qu'il pourrait briser la cage qui l'entoure. – Get out of my way whore. We are going to ransack every room, order of the Empress Camilla Oshun. D'un geste violent, la blonde se retrouva au sol. Elle pouvait sentir le goût si singulier du sang coulant sur ses lèvres. Mais elle ne pouvait plus rien pour la gamine qu'elle avait recueilli. Il ne servait plus à rien de nier ou de les empêcher de chercher tout de fond en comble, jusqu'à détruire chacune des pièces. Quelqu'un les avait trahi et à juger de la tenue de ces officiers, ils ne faisaient certainement pas partis de la garde royale. Deux mercenaires envoyés pour enfin mettre un terme à l'existence de la nuisible. Ainsi s'achevait la vie de l'enfant illégitime. Traînée par les deux hommes, Svea avait le visage bordé de larmes. Son regard azur, d'ordinaire envoûtant, n'était qu'un vide sans fin, le néant. Envolée la douce poupée, qui bientôt ne sera plus qu'un tas de cendres et d'os.


Adossée contre les pierres froides, la poupée ferme doucement ses paupières. Elle aimerait dormir et ne plus jamais se réveiller. Rester dans ce monde fait de rêves et d'amour. L'enfant aimerait mourir, bien qu'elle ne sache pas réellement ce que cela signifie. Mais on le lui a déjà dit, qu'un jour elle perdra la vie. Svea ne sait pas quand, elle ne sait pas comment. Elle ignore son âge ou même sa localisation. Le temps s'écoule à une vitesse qui lui échappe, c'est comme du sable qui lui filerait entre les doigts. Enfin, c'est ce que son imagination lui dit. Mais elle ne sait même pas comment rêver, comment s'évader de cet enfer. Chaque seconde qui s'écoule la ravage un peu plus encore. Parfois elle sanglote, parfois elle crie de rage. Mais souvent, elle n'a pas assez de force pour faire quoique ce soit. Alors elle reste là, assise, enchaînée comme du bétail, à attendre une finalité dont elle ignore tout. Mais elle peut sentir que ça la déchire de l'intérieur, ça lui tord les entrailles, cette vie, recluse dans l'obscurité. Parce qu'elle donnerait tout ce qu'elle a pour, un jour, pouvoir sentir les rayons du soleil caresser sa peau livide. Un bruit, à peine audible, l'a fait sursauter et l'a sort de sa torpeur. Un rat, un pauvre rat qui se précipite sur les restes d'un repas dont elle a oublié la présence. Un soupir effleure ses lèvres sèches. – Eat it, if you want, for what I care. I'm not hungry obviously. La gamine laisse un rire sarcastique sortir de sa bouche alors qu'elle se rend compte de ce qu'elle vient de faire. Une fois encore, la voilà en train de converser avec un nuisible, comme elle, pouvant se faufiler et sortir d'ici aisément, contrairement à elle. Svea en viendrait presque à l'envier, cet être abjecte et pourtant si libre. C'est bien ça qui lui manque le plus, la liberté. Mais la poupée ne sait plus réellement ce que cela signifie. Elle ne se rappelle pas de ce qu'a pu être sa vie, avant.
Mais tout ça prendra bientôt fin. Elle a un plan. Certainement est il bancal, sans espoir. Elle veut y croire l'enfant. Parce qu'elle sait pertinemment que d'ici peu la folie ravagera son âme et qu'à ce moment là, tout sera perdu pour elle. Et la mort sera une douce récompense pour son salut. Elle attend juste le moment, celui qui pourra tout changer. Elle n'a pas pensé à l'après et elle ne veut pas y penser. L'anticipation ne fait partie de ses points forts. Recroquevillée sur elle-même, Svea se balance doucement, en avant, puis en arrière. C'est l'unique manière qu'elle a trouvé pour se calmer et se rassurer. Ses mains s'accrochent fermement à ses genoux dénudés alors que sa chevelure de feu caressent son visage charbonneux. Ça va aller, tu vas sortir de là. Ça va aller, tu vas sortir de là. Ça va aller, tu vas sortir de là. Comme une mélodie raisonnant en boucle dans son esprit ravagé. Puis la porte de sa geôle s'ouvre d'un coup sec ayant pour effet de faire sursauter la captive. – Get up! Et elle n'eut pas le temps de se lever que déjà son bourreau agrippait fermement son bras si frêle. Debout, malgré elle, le sang de la mêlée ne fit qu'un tour alors qu'elle fracassa un résidu de pierre sur le crâne du soldat. Ce dernier laissa un cri s'échapper, ce qui permit à Svea d'attraper le trousseau de clés. Alors qu'elle était sur le point de se défaire de ses chaînes, elle sentir des mains se resserrer autour de sa taille. L'air venait alors à lui manquer et les clés tombèrent sur le sol. – Bitch! Et c'est la paume de sa main qui se fracasse contre sa joue, poussant ainsi la gamine contre le sol. – If I could, I'd kill you right now. C'est alors qu'elle compris. Jamais, ô grand jamais elle ne mourra de la main de l'Impératrice ou d'un de ses sbires. Oh non, elle perdra la tête avant qu'on ne la lui coupe. Un sort bien plus funeste qu'une mort rapide et efficace. Les larmes perlaient de nouveau sur ses pommettes alors qu'elle était de nouveau sur ses pieds, sans savoir comment. – The Empress has a message for you. Son tortionnaire amena, dans la pièce, un matériel tout particulier. La gamine mit du temps avant de comprendre ce qui l'attendait. Elle savait que ses cris, ses pleurs, rien de tout cela ne changerait ce qui allait se produire. – No, no, pity! I beg you! Don't do that! Don't do that! Please.. I'll do whatever you want. Son corps entier tremble alors que ses mots s'engouffrent dans le vide. Elle essaye de se débattre la gamine, mais elle ne fait pas le poids. Le silence règne alors dans la geôle. Puis il fut briser par les cris stridents de l'enfant. Une odeur de chair brûlée peut se faire sentir alors que le tortionnaire admire son oeuvre. – You will always belong to her. You're just a slave. La porte finit par claquer et la solitude refait surface. Svea se tient toujours debout, incapable de bouger pendant ce qui semble être des heures. Puis, elle finit par glisser le long du mur, tout en s'agrippant à des pierres. A mesure qu'elle se rapproche du sol, ses sanglots s'amplifient. Ses doigts finissent par se risquer à parcourir la marque laissé sur le haut de sa cuisse gauche. Un simple sceau, celui de ceux damnés pour l'éternité à n'être que du simple bétail.


Allongée sur le sol froid, l'enfant devenue femme compte, pour la énième fois, le nombre de pierres au plafond. Trois cent, trois cent un, trois cent deux.. La solitude a repris ses quartiers dans la geôle de l'illégitime. Elle aussi, elle a fini par la quitter. Pourtant, elle se rappelle de ses cheveux dorés, de ses grands yeux ambrés. Elle se rappelle aussi de ses sorties mensuelles, de la sensation du vent dans sa chevelure et de l'astre solaire caressant sa peau pâle. Au service d'une princesse enfermée par le même monstre qui avait détruit sa maigre existence. Mais elle était partie, son amie, sa compagnie, sa bouée de survie. Le silence allait de nouveau la dévorer toute entière. Sa réflexion, sur comment mettre fin à ses jours tout en étant enchaînée, allait pouvoir reprendre. Le temps lui avait prouvé que se laisser mourir de faim et de soif n'était pas la solution. Elle ne supportait pas les hallucinations liées à la déshydratation. La gamine n'est en réalité qu'un oisillon fragile, tombé trop tôt du nid, arraché au sein de sa mère. La porte claque, une fois de plus. Mais elle ne sursaute plus Svea. Elle a appris à vivre avec ce son qui claque au creux de ses oreilles. Elle a appris à vivre avec cette peur de l'inconnu. Mais les années passées avec la princesse lui firent oublier la terreur d'être torturée à l'improviste. Et si tout recommençait ? Son palpitant bat fort, bien trop fort alors qu'elle n'ose pas lever son visage pour apercevoir son visiteur. – Is it the welcome you reserve for your friends, Svea? Une voix familière, qu'elle n'a pas encore eu le temps d'oublier, par les Sept. Machinalement, elle se relève et se retrouve face à celle qui représente tout à ses yeux, Isaure. – No no. It is an hallucination, again. I can't.. i can't. La poupée sent déjà les larmes remplir ses iris alors elle décide de se retourner et de faire face à un mur, plutôt que d'être confrontée à un mirage. Elle inspire puis expire et répète l'opération, tentant de ne pas céder à une crise de panique. Si son esprit se joue d'elle au point de lui faire croire que sa sauveuse est là, Svea ne donne pas cher de sa personne. Bientôt, elle sera complètement folle et finira Dieu ne sait où. Sur un bûcher peut-être ou agenouillée sur l'échafaud. Perdue dans ses pensées, elle ne remarque pas tout de suite la clé qui s'enfonce dans la serrure de ses chaînes, finissant par libérer ses chevilles d'un poids porté durant des années. – I'm not an hallucination Svea. I'm real. I'm here. And i'm not leaving without you, never. La mêlée déglutit lentement avant de finir par se retourner, face au visage angélique de la princesse. Alors, spontanément, elle enroule ses bras autour de sa nuque et vient nicher sa tête contre l'épaule de son amie. Un acte pur, simplement pur. Elle peut sentir les bras d'Isaure se refermer autour de sa taille et un sourire se greffe sur ses lèvres, pour la première fois depuis longtemps. L'instant dure plusieurs minutes avant de finalement rompre le contact entre les deux femmes. – You came back! La princesse est bel et bien sa sauveuse, du début à la fin. – Yes but i'm not coming back in jail with you. You're leaving this .. place. Now come with me, you need to see everything. I have so much things to tell you, you don't even imagine. Nouveau sourire prenant place sur ses lèvres. La poupée s'empresse de suivre Isaure. Mais elle ne peut s'empêcher de jeter un dernier regard à sa cellule. Jamais plus. La blonde tire Svea par le bras, la sortant définitivement de sa misère et de la folie qui l'avait déjà rongé, en partie. – I need to tell you something extremely important. I found out we are sisters. Well half-sisters to be correct. La voix cristalline de la princesse se voulait beaucoup plus faible alors qu'elles entraient dans des appartements luxueux. – You will remain my lady companion, my maid, my friend but especially my sister. And I promise you we will have our revenge sis. Enième sourire et le pacte était scellé. Rien ne pourra plus les arrêter.


Marchant d'un pas régulier, la mêlée parcoure les rues de la Capitale. Chaque jour, elle croise des personnes arborant un bracelet coloré. Pendant longtemps, elle ne savait pas ce que cela signifiait, avant qu'Isaure ne le lui apprenne. Des mêlés, comme elle, avec des pouvoirs, comme elle. Tous étaient marqués et d'une certaine manière, elle aussi l'était. Sa cicatrice commençait à la picoter dès qu'elle y pensait et elle se contenta de passer la paume de sa main par dessus le tissus qu'elle arborait. Mais tout cela n'était pas de l'ordre de sa mission. Non, Svea se devait de tuer l'Impératrice et de mettre fin à sa tyrannie. Après cela, peut-être allait-elle mourir ou bien fuir. Peut-être verrait-elle sa sœur sur le trône. Tellement de possibilités, qu'elle a cessé d'y réfléchir, à l'après. De toute évidence, cela n'a jamais été son point fort, mais elle fait confiance à Isaure pour cela. Peut-être finira-t-elle par le regretter, comme les rumeurs le laissent penser. Mais la mêlée est encore une enfant, naïve et innocente, dans un sens. Et elle pose sa confiance entre les bras de la princesse. Svea laisse de côté ses pensées et termine ses achats pour celle qu'elle sert. Une fois qu'elle eut acheté tout ce dont elle avait besoin, la poupée reprit le chemin du palais puis des appartements qu'elle connaissait par cœur. – I'm back! lance t-elle alors qu'elle aperçoit l'Adiutor d'Isaure, une mêlée comme elle, qui doit donner sa vie pour celle de la Oshun. Un concept qu'elle a dû mal à comprendre, bien qu'elle ferait sans doute la même chose. – Thank you sis, that's perfect. Did you hear anything? Le ton de sa voix est volontairement naïf, innocent. Après tout, cela est devenu la routine. – Nothing interesting.. However, I heard that your rehabilitation at the court was not a good idea and that you would lead us to our loss. La chevelure solaire lève aussitôt son visage et se dirige vers la gamine, prenant ses mains dans les siennes. – I told you, they are jealous people who do not understand anything about it. Elle marque une pause avant de reprendre. – I love you. You are my sister and i could never do something that could hurt you. We will win in the end. Promise. Un sourire se greffe sur les lèvres de Svea qui baisse timidement le visage, se sentant stupide d'avoir douté de celle qui compte plus que tout au monde à ses yeux. – I love you too. I will always trust you. Leurs rires se mêlent l'un à l'autre puis la mêlée laisse sa sœur dans ses appartements. Elle doit apprendre à devenir plus forte, à devenir plus instruite, à vaincre la dragonne.
Traînant dans les allées désertes de la bibliothèque, la gamine est prise d'une soudaine envie, d'une pulsion qu'elle ne peut contrôler. Elle retire la dague coincée sur sa cuisse droite et soigneusement cachée à la vue de tous. Doucement, elle fait tourner l'objet entre ses doigts, un sourire se greffe sur ses lippes alors qu'elle réussit à le faire tournoyer sans le faire tomber. – It is not every day that we find a lady companion between two manuscripts, having fun with a dagger. La gamine sursaute, laissant tomber l'arme par la même occasion. – I .. I am sent by my mistress. Son ton est peu confiant mais elle espère au fond d'elle que cela sera suffisant. Elle ne peut pas se faire remarquer, pas maintenant il est trop tôt. Personne ne doit savoir qui elle est, réellement. – And the dagger? It was sent by the Seven? Le jeune homme en face d'elle semble se réjouir de la situation et il ne peut s'empêcher d'en rire. – This is not your business, I have a lot to do, goodbye. La mêlée tourne ses talons et continue son chemin, le plus loin possible de cet être abject. – We will meet again Miss Lankford. La poupée ne s'arrête pas. Elle faisait comme si de rien n'était, mais elle pouvait sentir le danger, bien réel et bien trop proche.