Ecrivez votre réponse ici. Détaillez bien les différents aspects de votre réponse. Vous pouvez la rédiger comme si votre personnage répondait à une question qui lui était posé, ou en continuant d'utiliser la troisième ou la seconde personne. Soyez complet, l'idéal serait de répondre en un minimum de cinq lignes.

pseudo et prénom ‹ passe miroir, sylvie âge ‹ 26 comment as-tu trouvé le forum? ‹no word can describe it...  pays ‹ superman de la frite fréquence de connexion ‹ régulière votre avis sur le forum ‹ no word can describe it...  (quelques soucis irl m'ont éludé loin des rpgs, désolé pour le retard   ) parrain ? ‹ oui? smiley préféré‹ y en a pas des masses, mais si je devais choisir :    gif qui décrit le mieux votre personnage‹

Spoiler:

(musique d'ambiance)


ACTE I. alchimie de la douleur (enfance)

Statuette solitaire.
Naufrage d'un matelot au rythme des épopées familiales. Impuissant, Darius guigne ses topazes vers la haute silhouette. La grandeur paternelle. Cet insaisissable luron portant le doux sobriquet de père. L'est-il? Sentiment orphelin. Ernest et Darius. L'engeance mortifère. Le prince et le sagouin. Glas d'une préférence à peine mussée. L'héritage d'un dévotieux espoir destiné à l'aîné seul. Peu importe. Des juvéniles oraisons aux périlleuses démonstrations, le benjamin demeure à peine visible. Une brise éthérée dans l'opalin sévère et déloyal. Un souffle fugace. Ernest est roi et lui, l'humble écuyer prêtant confort au futur monarque. Le punching-ball des injures paternelles. Des coups de ceinture aux brossées vindicatives, la chair se farde de macabre. L'énigme des immuables séquelles. Fléau d'un ogre sous la voûte renarde. D'un poucet échu à ses bottes. La mère toujours là pour le relever. Une ombre dans le sillage funeste. Une tendresse dévouée à l'agneau sacrifié. Mollesse sentimentale pour le vilain petit canard. Ainsi vécu Darius. De l'ingratitude d'un homme à peine tutélaire, d'une muse affectueuse et dévouée. La transparence colosse au regard du frère. Gravitant sur l'orbite du chaos familial, le félon se construit un carne pétrit, modelée au joutes quotidiennes. L'éclosion d'un fauve trottinant au rythme sanguinaire des augustes bourreaux. Autarctique, dévoyé, insoumis. Darius esquisse ses envies puisqu'il ne semble prédestiné à nul grandiloquente corvée. 

ACTE 2. danse macabre


ACTE 3. le flambeau vivant (lien dyade)

Adiutor.
Fébrile impatience. Attente d'une décennie. Moiteur chaude.
Les lèvres se fendent d'un sourire euphorique au regard du mêlé dressé devant lui  Alors, ce serait lui? Sa moitié, son associé, son indéfectible protecteur? Darius mire sémillants calots sur l'adolescent. Menu, svelte, délicat. Une chrysalide fragile, teintée d'une noirceur indescriptible. Arabesque idyllique pour qui s'émeut le palpitant. Une sombre beauté s'ébauchant sous ses topazes ébaudis. Un sentiment unique chevrote sous le derme. Vivace, picotant, étranger. S'hérisse le poils, granule la chair, à cette fraîcheur nouvelle. La voici donc, cette lueur, ce doux chatoiement perçant l'obscurité de sa vie. La providence rompant l'immuable solitude. Un séraphin lui a été alloué dans un élan miséricordieux. Bienfaiteur de ses nocturnes solitaires.  "Quel est ton nom?" Murmure doux et curieux. Si la mollesse nimbe la moindre syllabe, elle n'empêche la fibre dominante. Exsudant de chaque pore, l'émotion dévore chaque centimètre de peau. Chaque recoin de l'esprit enfiévré par le doux cadeau de minuit. Un nom rebondit. Consonance étrangère, tintement modeste. Un sourire dévore sitôt les nobles babines. La proximité se rompt à l'assaut du sang bleu. Le souffle chaud s'écrase contre ce pâle minois, comme le loup humant le parfum d'un agneau. Les mains saisissent leurs compères. Se faufilent les doigts aux jumelles froides, se joignent les paluches dans un étau confident. Le cadet swanson les porte à ses lèvres. Baiser posé sur l'union de chair en une silencieuse promesse.  Sous les quinquets de l'impératrice, au fil d'une fastueuse cérémonie, l'inéluctable fil est tissé entre les deux entités. Un maître, un adiutor, nouveau pairing formé à l'aube sanguine. S'éveille l'affinité au rythme des deux prochaines nuits. De corps enlacés, de paupières closes. Sanglant lien. Le scandale se hurle muet aux indicibles âmes soeurs.

ACTE 4. crépuscule du soir (famille)

La reine.
Voici donc la muse offerte en pâture. L'oiselle terrifiée, abandonnée aux pieds des majestueuses charognes. Daisy... Le prénom roule dans la bouche comme un cadeau incertain. Les épousailles ne sont-elles le fait d'une prédilection à l'amour virevoltant? Si la nymphe n'en ressent qu'une fugace joie, Darius entrevoit une porte ouverte à l'un de ses désirs affamés. Fonder une famille, nouer liens immuables. Bâtir un empire où les loups dévoreront les autres fauves.  Daisy en fut donc la clé. Sans être sans propre choix, l'ondine lui convint à la première œillade. Beauté façonnée par quelques timidités, pétrie par une angoisse sous-jacente. Porcelaine fragile envers qui il jura inébranlable protection, d'un baiser joint à ses pulpeuses lèvres, d'un regard en coin au freux mussé non loin. Maître et mêlé, la dyade veillerait sur la nouvelle reine et sur les enfants promis.  Et chacun, garçon ou fille, il les chérirait, la chair de sa chair, le sang de son sang. Les louveteaux inespérés. L'amour dégueulerait par-dessous la rigueur et la sévérité, d'une vague impartiale. Ne pas reproduire les erreurs paternelles. D'une enfance traumatique, Darius s'augure nouvelle tendance pour la génération à venir.

ACTE 5. l'albatros
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ACTE 6. gout du néant (rupture)
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