Citation :

Tu pleures parce qu’il ne comprend pas. Qu’il est là, pour toi, alors qu’il devrait fuir, pour lui.

Citation :

Tu restes là, attendant sa réaction, parce que tu es incapable de donner plus que ton cœur et ta mort à celui qui t’avais offert la vie.

Cal Oshun a écrit:

« Tu sais que tu ne devrais pas rester ici. » Pourtant, comme pour contredire ce qu'il venait de dire, Cal s'empara du visage du brun afin de l'embrasser. Il en avait envie depuis que son amant avait franchi la porte, et il ne se priva pas pour obtenir ce qu'il désirait. Il s'écarta cependant rapidement, sans pour autant quitter des yeux Adonis. Quelques secondes, il détailla le visage du brun, ainsi que sa silhouette. « L'attentat n'a pas l'air de t'avoir laissé trop de séquelles. Tant mieux, je n'aurais pas à faire appel à quelqu'un d'autre pour m'informer sur Eartanera lors de nos entretiens du mercredi. » Un sourire suffisant effleura le visage du prince. Ses paroles n'étaient qu'un sous-entendu visant, encore une fois, à attiser la jalousie d'Adonis. C'était aussi sa manière à lui que Cal avait de s'assurer que son amant allait bien, d'engager la discussion sur son état sans pour autant poser une question qui aurait pu trahir l'intérêt qu'il lui portait.

Adonis Griffith a écrit:

Allaient-ils tourner autour du pot encore longtemps ? Le brun commençait légèrement à s’impatienter, alors que son amie ne semblait pas encline à mettre un mot sur ce qu’elle avait probablement déjà deviner. Si le maître était d’abord anxieux à l’idée que la princesse sache la teneur de sa relation avec l’héritier du trône, il n’en était désormais plus rien. L’ambassadeur voulait qu’elle le sache. Après tout, il voulait que tout le monde le sache. Elle pouvait facilement le deviner, mais si il le fallait, Adonis n’hésiterait pas à lui donner un petit coup de pouce. Alors qu’elle arqua son sourcil dans un signe d’interrogation, la jeune femme s’approcha de lui et posa sa main sur son épaule dans un geste amical. « Well, you know how I am not fond of you talking, rubbing shoulders with him... maybe you could just do your job with me and I'd give him the word ? » Wanda semblait réellement désireux de l’éloigner de Cal, allant même jusqu’à proposer de faire son job à sa place. Même si il avait accepté, il savait très bien que plusieurs personnes au palais ne seraient pas d’accord, à commencer par la mère de Wanda elle-même. Après tout, Adonis était logé nourrit et blanchi au palais pour y faire son travail. Le brun profitait aussi de certains avantages, et celui de voir Cal une fois par semaine était son plus précieux. « i]I'm sure you will find the... rough part somewhere else ?[/i] » Adonis fronça doucement les sourcils en regardant sa meilleure amie. Elle avait compris, non ? C’était évident, pour lui. Il sourit, et prit la main de la poupée dans la sienne. « You do remember I talked to you and Andrei about a man I spent some time with, right? And I also told you I couldn’t tell you who it was because he wouldn’t let me. » Adonis s’humecta les lèvres, en songeant que le secret qu’il avait gardé si longtemps ne serait bientôt plus un secret, surtout si il le confiait à Wanda. « I believe you guessed by now this man is no other than your dear brother, who is the only one who can give me orders that I would follow. » même elle, pourtant princesse, ne s’était jamais essayée à donner des ordres au Griffith, qui était un électron libre à la cour. « So, hm, you can’t really do it for me, can you? » Adonis ne pu s’empêcher de laisser un de ses sourires taquins se dessiner sur ses lèvres. Il lâcha la main de Wanda et se recoiffa sans gène en glissant ses doigts dans ses cheveux. Maintenant qu’il lui avait dit, il s’en fichait pas mal qu’elle sache qu’il venait tout juste de sortir d’une partie de jambes en l’air avec Cal. « And, no, I can’t find the rough part anywhere else. No one dares to act like that with a noble like a prince does, I believe. »

tout le rp, normal
Ado va falloir qu'il calme ses ardeurs

rei osanos a écrit:

« J’voudrais tellement être ta soeur », elle ne sait plus combien de fois elle a murmuré ça, à la faveur du bruit des vagues ; mais une tonne, c’est certain. Peut-être même tous les jours, ouais, peut-être bien. Et elle demandait des explications pour tous ces points communs, pour les modes d’expression connus d’elles seules, pour les mots qu’elles n’avaient pas besoin de prononcer parce qu’un seul regard s’en chargeait.

rei osanos a écrit:

La voix de sa cousine la crispe et instantanément, Rei détourne le regard. Noor ne comprend pas, ne comprend plus. Chaque fois qu’elles se croisent, chaque fois qu’elles se voient, c’est le même schéma : l’ainée tourne le dos, émet des soupirs agacés, saisit n’importe quelle opportunité pour partir. Noor ne comprend pas parce que les souvenirs se défilent sous ses doigts, et Rei s’enfuit parce que les souvenirs font trembler les siens

@Noor Osanos, si ça peut te rassurer, c'est pas prêt de finir

noor osanos a écrit:

elle se souvient de cette présente quasi constante, de leurs rires qui frappaient les murs et les esprits. Il manque une main dans la sienne, un regard échangé, des secrets inavoués. Cette sœur qu’elle a tant rêvé d’avoir mais qui n’est que sa cousine, cette amitié si forte, plus précieuse que tout, qui marque tellement par son absence que ça fait trembler ses mains. Elle ravale les dernières images que lui offrent ses souvenirs écorchés, celles de deux gamines les doigts entremêlés. Parce que ça lui bouffe le coeur. Ça lui bouffe la tête aussi.

noor osanos a écrit:

De nouveau, une échappatoire. Elle n’arrive pas à capter son regard. Elle n’y est jamais arrivé en trois ans. Peut-être que c’est plus simple de mentir en détournant les yeux, sûrement. Ou peut-être que Noor la dégoûte tellement qu’elle n’arrive plus à poser les yeux sur elle. C’est une possibilité qu’elle a souvent envisagée.

noor osanos a écrit:

« Pourquoi tu me mens ? » C’est sorti comme ça. Ça a brisé l'air et sonné comme un reproche, parce que c’est un reproche.

vous êtes toutes tellement douées, je suis sous le charme