Athalia Griffith a écrit:

je plussoie maven, il y a tellement de plumes magnifiques sur ce fow

Ido Aderal a écrit:

non mais j'envie votre réactivité quoi

je plussoie totalement
la fan en moi est ravie
et j'adore l'ouverture du rp d'aura également

Saeko Yinren a écrit:

Ahaha
@Isaak Griffith me maudit parfois pour cette réactivité  

Sinon, @Aura Arundell, tu comptes nous tuez tout de suite avec ton rp, où ça s'passe comment?

Lia a écrit:

Car Isaak, il était son frère, mais également l’éternel protecteur de ses cieux, le soutien indestructible et la force invisible qui maintenait son âme à flot.

SHOOOOK.
JSUIS SHOOK AFFFFUCK.
NAOS IL A FRAPPÉ WEISS.
DEPUIS QUAND LES VICTIMES OSENT FRAPPER WEISS???  
TRAHISON. DISGRACE.
JE DEMANDE JUSTICE.
REVOLTONS-NOUS.

Naos Jagger a écrit:

« J’en ai rien à foutre de ton pardon. J’en ai rien à foutre de ce que tu penses et de tes menaces. » Les poings tremblants sous la rage, le corps bandé comme la corde d’un arc ne demandant qu’à craquer, il hurlait presque ces psaumes maudits dans l’espoir amer qu’elle lâche prise. Qu’il puisse lui-même enfin lâcher prise. « Mieux, j’en ai rien à foutre de toi ! Contente ? Je dois faire quoi pour te prouver que j’en ai rien à foutre, putain ! Je dois te péter les dents, te casser la gueule ? » Exemplifiant ses propos par les actes, il lui asséna un premier coup de pied en plein estomac, n’attendant pas une seconde pour l’attraper par le col et la rejeter comme une vulgaire poupée. Cette lutte ne rimait à rien. Cette rage était vide. Pourtant ils se donnaient la main dans ces actes insipides, acteurs de leur autodestruction comme si celle-ci était la seule solution qui faisait sens dans un monde qui n’en avait aucun.

Isha Oren a écrit:

Le maître de l’air n’avait rien de ses ainés, cette engeance spoliée l’ayant brisé sous le poids de leurs attentes contraires. Il n’avait rien d’un alizé porté par les vents se laissant aller sous les doigts des géants régnant en ce monde. Bien au contraire, depuis son plus jeune âge, Isha possédait une certaine langueur à l’âme. Cette effarante indifférence le séparant du monde au point que tous se demandaient s’il n’était pas finalement un mettre des glaces, prisonnier de sa propre chair devenue glaçon. S’il eut été une époque où le gamin se serait éclaté les bronches à hurler au néant la rage d’un orphelin possédant encore ses deux parents, ne restait des cendres de son ire que l’amertume lui collant à la chair sans qu’il ne sache qu’en faire. Le crâne rompu par la douleur, ses pensées déboussolées par la brume qu’avait abandonné les liquides ambrés ayant quitté ses veines, le petit prince de Kachi n’était plus qu’un prince de rien. Juste une catin hors de prix, une putain roulant au tapin jusqu’à ce que son carmin ne devienne vin et que ses souvenirs se fassent amnésie. Isha n’avait pas de maître, pas de contrée à défendre, pas même une corde nouée autour de la nuque pour lui donner l’impression d’appartenir à quelque chose le dépassant. Il n’était plus rien que les restes encore fumants d’une colère qu’il n’avait su comment faire persister, soufflé par l’ouragan, battu par l’averse. L’Oren n’avait personne à qui revenir et peut-être que c’était ça qui en faisait un personnage si singulier. Un désaimé forcé de vendre l’amour à tout bras, s’oubliant au rythme d’une danse sous des draps froids.

prenons un moment pour admirer la plume d' @Isha Oren, svp  
et je passerais sous silence la façon désastreuse dont elle décrit cette douce et gentille feyre