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I curse the fating of the light

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Astrée Mather
Astrée Mather
‹ MESSAGES : 523
‹ AVATAR : Sophie Turner
‹ CRÉDITS : avatar : Bonnie | Signature : alaska | Gif : What about angels?
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I curse the fating of the light Tumblr_osro3uMB5k1vp00b2o3_400
‹ AGE : Du haut de ses vingt quatre ans, elle se sent toute petite, perchée à la tête d'une famille, elle crève de trouille à l'idée de tomber.
‹ STATUT : Le myocarde arraché, veuve, son grand amour a été emporté par delà les eaux, rejoignant le firmament. Elle flirte avec le manque, embrasse son absence, refusant d'oublier celui qu'elle a tant aimé.
‹ SANG : Éclat de bronze dans le carmin, elle n'en ressent nulle honte, la chasseuse sert la ma^trise élémentaire sans reconnaître les têtes couronnées à la tête des différentes nations.
‹ POUVOIR : L'enfant des cieux se joue des vents, s'infiltre dans des courants d'air, épouse la courbe gracieuse des brises légères qu'elle maîtrise.
‹ METIER : A la tête de sa propre famille, Chasseresse et prêtresse, entièrement dévouée au culte élémentaire. Elle et les siens sont les mains armés des éléments, protecteurs d'un passé révolu.
‹ ALLEGEANCE : La douce vengeresse offre son arc et ses étoiles aux cultes des éléments, en souvenir de l'oracle ultime et des créatures mystiques.
‹ ADIUTOR : La vlgaire créature a été retenue dans une geôle jusqu'à ce que la chasseuse élémentaire ne puisse le supprimé sans en subir elle-même les conséquences.
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I curse the fating of the light Vide
MessageSujet: I curse the fating of the light I curse the fating of the light EmptyDim 31 Déc 2017 - 9:41


I curse the fating of the light
Les doigts de la ténébreuse se crispe contre son crâne, furieusement ravagée par la douleur lancinante d'un tambour qui retentit contre sa cervelle, au rythme des battements effrénés d'un palpitant qui n'a que trop souffert. Sa mâchoire se crispe alors que son dos se raidit, adossée contre une porte de bois qui la sépare du petit prince des océans. Les paupières viennent recouvrir ses orbes sombres, alors qu'elle chavire, elle se laisse emporter par le flot de ses pensées alors que les poings de le dernier Osanos ont cessé de martyrisée le bois contre lequel tu es appuyé. Les heures s’effritent et l’abîment, entaillent sa carcasse inhumaine pour se frayer un chemin jusqu'à ce cœur putride à l'agonie. Elle de trouille, toi, l'enfant terrible des sept mers, toi, la tempétueuse môme qui n'avait jamais courbé l'échine, bien trop têtue, bien trop butée pour se laisser abattre pour ces autres qui menaçaient sa descende aux enfers... mais ces autres ne la rongeaient pas de l'intérieur comme l'avait fait ce foutu virus. Il s'était insinuer, sournoisement, se gavant de son pouvoir, de son lien avec les eaux, se nourrissant de son amour pour les océans, jusqu'à ce qu'il te lui reste plus rien, si ce n'est une monstruosité incontrôlable. Le voile de chaire se soulevait, ses prunelles noires venant glisser dans l'obscurité pour se heurter au carmin qui perlait le sol... Seul vestige de la présence protectrice de cette autre qui avait été à ses côtés durant si longtemps. Elle était hantée, la Wolffhart, hantée par le fantôme de la déesse blonde. Elle sentait ce nouveau pouvoir vrombir en elle, tel le démon destructeur qu'il était. Le spectre s'imprimait sur sa rétine, souillé par le sang qui coulait de ses yeux, cruellement symbolique, sa mêlée pleurait la trahison de son indomptable maîtresse. Savait-elle seulement qu'elle n'avait jamais voulu en arriver là? Un soupire fend les lèvres de la fille des eaux, alors que ses doigts se crispent davantage contre la crinière de jais. La culpabilité la ronge de l'intérieur, lui persifle sournoisement à l'oreille, la condamnant à une solitude préventive, pour préserver tout ceux qu'elle a un jour aimé.

La porte en face d'elle s'ouvre, laissant entrée la froideur de la nuit. La brise nocturne escalade son échine, lui arrachant un frisson détestable, alors que son corps tout entier se crispe à la vue de l'ombre qui apparaît devant ses yeux. Les lueurs de l'astre lunaire subliment les traits pales de cet être qu'elle chérit, alors que son cœur se tord de douleur à la perspective qu'il se retrouve exposé à sa dangerosité. La porte se referme, lui arrachant une grimace douloureuse alors que l'homme dévore la distance qui vous sépare. Sa main se soulève alors qu'un cris déchirant et brisé s'échappe de ses lèvres craquelées par un silence assourdissant. Non. Et sa main se soulève, comme un rempart, un protection qu'elle se doit d'élever entre leur deux corps. Elle ne peut se permettre de le voir approcher, elle ne peut se permettre de le blesser,  douce ironie pour ces amants qui n'avaient cessé de se blesser l'un et l'autre... Mais jamais comme cela. Et pourtant, elle sent l'énergie funeste jaillir d'elle, s'échapper de ses doigts pour se ruer vers lui, s'infiltrer dans ce corps qu'elle ne connaît que trop bien pour en prendre le contrôle. Elle l'immobilise, bien malgré elle. Ses orbes dévastées ne peuvent que constater la raideur de ses membres dont il ne peut plus jouir puisqu'elle en est devenue la maîtresse. Les orbes se voilent de larmes alors qu'elle laisse échapper un soupir douloureux, son poing se referme avec lenteur, relâchant la prise qu'elle a sur lui. Elle le fuit, détourne son regard pour la première fois, honteuse de ce qu'elle est devenue dans les mains du virus. Je ne sais pas ce qui m'arrive, mais tu ne devrais pas m'approcher, Lex. Plus jamais. Sa voix tremble, trahissant l'émotion qui l'envahi, au même titre que les larmes qui roulent sur ses joues pour venir crever sur ses lèvres.
PINNED UNDER THE WEIGHT 2017

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I curse the fating of the light Vide
MessageSujet: Re: I curse the fating of the light I curse the fating of the light EmptyLun 22 Jan 2018 - 22:12


Il est inquiet, Lex. Comme il l'a rarement été.  Après avoir reçu la missive d'Hettie, il a sellé sur le premier cheval qui lui tombait sous la main et s'est précipité pour rejoindre leur emplacement, dans l'une de ses résidences secrètes à Zunear. Sans se reposer un seul instant, il a chevauché une journée entière, jusqu'à la nuit tombée. Il se demande s'il a bien fait, de confier Seren à son amante, alors même qu'Ethel pressentait que ce n'était pas la chose à faire. Peut-être par pur esprit de contradiction, ou peut-être simplement parce qu'il n'a jamais été si peu sûr de pouvoir placer sa confiance en quiconque, il n'a pas bronché, est resté campé sur ses positions. Pourtant, elle ment, Hettie, elle ment, triche, affabule, trompe et trahit. Il le sait, il l'a vu. Mais ce qu'il sait aussi, c'est qu'elle est incapable de le perdre, lui. Incapable de le laisser partir pour toujours. Parce que c'est ce qui arriverait, s'il ne retrouvait Seren sain et sauf. Alors oui, il ne sait pas s'il a véritablement confiance en Hettie, mais ce en quoi il a confiance, c'est l'amour qu'elle lui porte, celui-là même qui l'empêchera toujours de franchir l'interdit, tuer quelqu'un qui lui est cher, ces êtres qui se comptent sur les doigts de la main.

Arrivé à Zunear, il ouvre la porte brusquement ; dans son élan, il aperçoit la silhouette recroquevillée d'Hettie, vers laquelle il se précipite. Pourtant, avant même qu'il ne puisse la toucher, elle hurle, lève sa main et simultanément, il se sent perdre le contrôle de son corps. « qu'est-ce qu– » qu'il commence, sans finir sa phrase. Dépossédé de lui-même, incapable de bouger ne serait-ce qu'un petit doigt, le maître des océans met toute sa volonté à briser ce maléfice, sans y parvenir. Et il déteste ça, n'avoir aucune prise sur ses actions, être impuissant, tout simplement. Comme lorsqu'il n'a pas pu sauver sa sœur, figé dans l'horreur de ces quelques secondes qui lui ont parues si longues, lorsque la lame du bourreau traçait sa voie jusqu'à la nuque d'Atalante; « arrête ça » qu'il grogne entre ses dents, toujours immobilisé. Arrête de lutter, de m'écarter. Il voudrait qu'elle comprenne, qu'il n'a plus grand-chose à perdre dans cette vie-là, qu'elle n'a qu'une coquille vide, ou remplie d'un chaos sans nom, à préserver d'elle-même. Il se dit que ce n'est pas elle qui devrait l'écarter, que c'est lui qui devrait arrêter d'approcher, de s'accrocher. Mais c'est qu'un lâche, Lex ; il peut pas se soustraire à la Wolffhart, à cette communion tordue de leurs âmes viles et incapables d'aimer correctement. Quelque part, elle est tout ce qui lui reste, la seule capable encore de voir en lui ce que personne d'autre ne voit, la seule qu'il n'a pas réussit à faire fuir, la seule qui restera, jusqu'à la fin. Et il sent qu'il lui doit ça, Lex, qu'il lui doit d'être là, aussi imparfait et cruel a t-il été et sera toujours, là lorsqu'elle a besoin de lui, au fond, tout au fond. Alors il lutte, vainement, mais il lutte. Soudain, il sent la pression se relâcher et ne peut s'empêcher de lâcher un discret soupir de soulagement lorsque ses doigts se plient et se déplient selon son bon plaisir. S'agenouillant devant la ténébreuse brune, il contemple l'étendue des dégâts ; elle a été bien plus sévèrement touchée que lui par le virus sévissant à Aksana. Il en a vu, des malades, lorsqu'il était encore au qg de la résistance – il a vu ceux qui, comme lui, n'avaient pas été liés, se relever beaucoup plus rapidement. Alors, il a compris. Le lien. Quelque chose avait merdé avec le lien, et personne n'était plus à l'abri. « désolé chérie, mais j'ai encore trouvé personne pour te remplacer » qu'il plaisante, cueillant l'une de ses larmes d'un pouce glissant, d'une douceur inattendue, sur sa joue.« tu crois vraiment que t'as le pouvoir de me blesser ? allons, on sait bien tous les deux que t'as aucune chance contre moi. » il essaie de la détendre, tant bien que mal ; il ne sait pas quoi faire d'autre, n'a jamais été vraiment doué pour consoler autrui. « et tu devrais me connaître assez pour savoir que je ne prend d'ordres de personne » ajoute t-il dans un maigre sourire, en jetant un regard alentour, à la recherche de son fils cadet. « seren ... ? » c'est une question implicite ; il veut savoir où il est, s'il va bien, s'il est dans le même état qu'elle. Il envisage le pire, ignore si le dernier des Osanos a été capable de supporter le virus.







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