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| the woods are lovely dark and deep (feyre) | |
| Auteur | Message |
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Anne-Marie Osanos water nation‹ MESSAGES : 888 ‹ AVATAR : marion cotillard ‹ CRÉDITS : cookie sauvage the talented one (av) leslie (gif) ‹ COMPTES : a. bol, m. bel
‹ AGE : QUARANTE-SEPT; l'élixir introuvable, c'est le temps qui afflige son corps, la jeunesse n'est plus depuis longtemps déjà. ‹ STATUT : MARIEE; la déesse s'est détournée du kraken, fuyant sa folie et ses idéaux corrompus, elle ne l'a jamais aimé. ‹ SANG : ARGENT; insouciance de l'ichor, elle est vivante avant tout, à la sève vermeille et précieuse. ‹ POUVOIR : EAU GUERISON; fluides changeants, mais demeurant en son sein, elle se voit désormais bénie de la compassion faite pouvoir, permettant à la déesse de soigner les plus malheureux. ‹ METIER : MERE; le giron criant à l'absence de la progéniture, les jambes parcourant milles lieux pour les retrouver. ‹ ALLEGEANCE : ENFANTS; lula et hyppolite passeront avant tous, elle ne s'intéresse guère aux batailles de couronne et ne cherche que la paix d'antan.
| Sujet: the woods are lovely dark and deep (feyre) Jeu 8 Fév 2018 - 8:40 | |
| but i have promises to keep and miles to go before i sleep « Serait-ce donc… Feyre Mormont ? » L’auberge dans laquelle il venait d’entrer était noire de monde, et pourtant, il remarqua immédiatement la silhouette félinement légendaire au milieu du bas peuple. Il s’en approcha sans d’avantage y réfléchir, s’exclamant de sa surprise en s’asseyant à la table qu’elle s’était appropriée, sur le même banc qu’elle. Venir jusqu’ici n’avait pas été un gros problème pour Tobias : les frontières toujours gardées par le roi qu’il soutenait en apparence, il avait pu les franchir sans grand peine. Néanmoins, le soldat qu’il rencontra, et qui se fit un peu trop interrogateur quant à ses intentions sur son voyage à Flamaerin, ne se portait peut-être plus aussi sainement qu’il l’était : mais qui pouvait donc juger la rectitude d’un homme ? Il semblerait que Tobias, maladroit, lui transmette quelques unes de ses propres pensées, et le soldat loyal se trouvait en ce moment même à déblatérer seul sur la grandeur de la beauté princière d’Ariane. Parce que la rose, bien qu’ennuyante et bien trop morale, occupait encore les pensées de l’orange. Il ne pouvait s’empêcher de l’aimer. Mais voilà qu’il se trouvait maintenant à Dryang, gouverné par le jeu et la soif de justice. Il s’était arrêté en amont du fleuve qui traversait la ville pour se nettoyer quelque peu, enlever le sang des mutants qui tâchait sa porcelaine. Il avait laissé sa jument au même endroit, et avait traversé la ville à pieds, cherchant un endroit où se poser pour la nuit. Le destin avait bien fait les choses en l’amenant sur la route de la tigresse, ce hasard arrachant un rictus au visage fermé de l’enfant des eaux. « Ah, tu as bien changé depuis l’académie. Je me rappelle de cette gamine, disons, à part. Et regarde-toi à présent ! » Rire, moquerie dissimulée par la gorgée d’ale qu’il avala, aussitôt que la tavernière lui eut apportée. Mais les souvenirs qu’il avait de Feyre étaient vagues, les oranges n’avaient pas le même âge : peut-être même la confondait-il avec une autre gamine désavantagée. « Une vraie femme. » Compliment assorti d’un sourire équivoque, charmeur nouveau qui se dévoilait à elle sous ses airs distants. Lui qui était autrefois si réservé, si amoureux de sa rose, que jamais n’avait-il osé draguer si ouvertement une autre, voilà qu’il renaissait des cendres de sa folie. Et il ne pouvait le nier : le corps de Feyre avait des allures aphrodisiaques. Il but une nouvelle gorgée, plus longue, plus enivrante, avant de lâcher son verre et de se pencher secrètement vers elle. « T’as envie de jouer, Feyre ? On m’a dit que t’aimais bien jouer. » Et lui aussi, depuis peu, avait ce plaisir. « Voilà ce que je te propose : on prend une de ces abominations - un mutant, comme on les appelle - et on va s’amuser à l’arrière. » Un signe de tête pour désigner une des salles fermées, réservées aux clients les plus fortunés, et les plus mystérieux. Attrapant une mèche sombre entre ses doigts, il poursuivit. « Je sais que t’aurais préféré passer un moment qu’avec moi, mais disons que j’ai besoin de ton aide - oui, oui, je dois bien l’avouer. » Le soupir s’échappa d’entre ses lippes, il reconnaissait sa faiblesse. Il n’était plus le même talentueux orange qu’il le fut, avant l’accident familial. La mort de ses parents et la manipulation de sa sœur l’avaient résolu à abandonner ses pouvoirs, du moins à les faire taire du mieux qu’il pouvait : cela n’avait eu comme résultat qu’un lent glissement vers la folie qui fut sienne, et qui résidait encore quelque peu dans son désormais noir esprit. « Disons qu’avec le virus, et le manque de pratique, j’ai la tête sens dessus-dessous. C’est pas toujours pratique. Alors j’ai besoin que la grande Feyre Mormont m’aide à mettre de l’ordre dans tout ça. » Compliment huilé, il ménageait l’ego de sa nouvelle amie, ayant plus besoin d’elle qu’elle de lui. Mais il savait lui parler, utiliser les mots justes : il savait qu’elle ne pourrait lui résister. Après tout, la princesse d’Eartanera elle-même lui avait cédé. « Qu’en dis-tu, hm ? Toi, moi, une abomination, et des heures de plaisir ? » C’est un souffle qui se répandit sur le visage de l’autre, tant ils étaient prêt. La main continuait de caresser les cheveux, descendit le long des mèches sombres, glissa contre la peau nue de son bras, le pouce trainant sur le sillage. |
| | | Feyre Mormont orange‹ MESSAGES : 1594 ‹ AVATAR : emeraude toubia. ‹ CRÉDITS : lily bae, bb cha. ‹ COMPTES : éclairs, guérison, métal, vol, électricité, intelligence.
‹ AGE : vingt-six années destructrices, passées à agir dans l'ombre et à construire un monde d'ombres dont feyre est la reine. vingt-six années qui s'égrènent lentement, chacune apportant son lot d'horreurs. ‹ STATUT : coeur noirci par les déceptions, la belle sociopathe s'est attachée à plusieurs personnes avant de les détruire. le résumé même de l'histoire de sa vie. ‹ SANG : mêlé, une fierté qu'elle pose sur un piédestal, puisque c'est ce mélange de sang qui lui a conféré un si grand pouvoir. sans pour autant induire de grandes responsabilités. ‹ POUVOIR : reine des esprits, araignée aux multiples griffes invisibles, la cruelle est capable de tout et surtout du pire, puisqu'elle peut s'insérer dans l'esprit d'autrui et y faire tous les ravages imaginables. ‹ METIER : feyre vend ses services aux plus offrants, boucher des esprits, elle plonge avidement dans les âmes d'autrui et massacre tout ce qu'elle trouve. prête à tout, du moment que cela lui rapporte de l'argent. ‹ ALLEGEANCE : à elle-même. et rien qu'à elle. feyre ne fait confiance à personne et se moque pas mal des guerres de pouvoir. les oshun et les rebelles l'indiffèrent au plus haut point. ‹ ADIUTOR : la belle avait été affectée à une divine blonde qu'elle avait modelé selon son bon désir. mais désormais chassée, exclue, bannie, feyre se sent bien seule, loin de celle qu'elle brûle de retrouver.
| Sujet: Re: the woods are lovely dark and deep (feyre) Jeu 8 Mar 2018 - 18:59 | |
| but i have promises to keep and miles to go before i sleep « Serait-ce donc … Feyre Mormont ? » L’attention de la diablesse se détourna de l’adorable petite créature qui se trémoussait à ses côtés. Terriblement effrayée. Mais n’osant pas contrevenir aux ordres de celle capable de mettre son esprit en miettes en seulement quelques secondes. Et elle n’avait même pas eu besoin d’utiliser ses maléfiques pouvoir pour dompter la jolie plante. La simple vocation de son perfide nom avait suffi à rendre l’humaine esclave de ses moindres désirs. Et, pour le moment, l’inhumaine ne cessait de parler, de glousser et de minauder. Et l’autre, immobile et effrayée, se tenait coite. Attendant l’heure propice à laquelle la Mormont déciderait de refermer ses serres sur elle. Pour l’entraîner dans ce paradis démoniaque dont elle était la reine. Mais son attention se détourna de sa nouvelle dulcinée, lorsque son nom résonna à ses oreilles. Ses yeux aussi noirs que la nuit se posèrent sur le mêlé qui lui faisait face. Tobias Estermont. Un nom venu du passé. Un nom qu’elle n’avait pas entendu depuis bien longtemps. Comme un fantôme ressurgissant des années après son exorcisme. « Ah, tu as bien changé depuis l’académie. Je me rappelle de cette gamine, disons, à part. Et regarde-toi à présent ! » Rictus mesquin sur les lèvres violettes de l’inhumaine. Si ce petit garnement voulait la provoquer, il le faisait de la meilleure des façons. Parce que la démone n’était pas une femme que à qui l’on pouvait impunément s’en prendre. D’une fierté qui n’acceptait pas d’être malmenée. D’un orgueil qui ne pouvait supporter aucun affront. Ses doigts invisibles se mirent à évoluer autour de l’esprit embrumé de l’orange. Dotés des mêmes pouvoirs qu’elle et pourtant, elle ne le considérait guère plus que comme un insecte. Parce qu’elle s’était elle-même couronnée en tant que reine des esprits. Il voulait se moquer d’elle. Qu’il le fasse. Il allait en payer le prix. « Une vraie femme. » D’un regard, elle renvoya la belle créature qui se trouvait à ses côtés. Et l’agneau détala, le plus rapidement possible. Loin de ce prédateur au visage d’ange. « Tu ferais bien de tenir ta langue, imbécile. Ou tu vas finir par t’étouffer avec. » Gloussements mesquins. Voilà trop longtemps qu’elle n’avait pas répandu chaos et terreur derrière elle. Les obscurs jours de sa maladie étaient derrière elle. Et elle comptait bien rattraper le temps perdu. « J’ai toujours été une femme, Tobias. Tu étais simplement trop aveuglée par ta Griffith pour le remarquer. » Elle n’avait même pas eu besoin de creuser au fond de son âme, pour percevoir l’image de celle qui hantait son cœur et son esprit. Les sentiments amoureux étaient bien trop risibles, pour celle qui ne ressentait rien. Absolument rien d’autre qu’une avidité monstrueuse et une possessivité souvent obsolète. « T’as envie de jouer, Feyre ? On m’a dit que t’aimais bien jouer. Voilà ce que je te propose : on prend une de ces abominations – un mutant, comme on les appelle – et on va s’amuser à l’arrière. » Son beau visage ravagé par les excès se déforma, sous le coup de la jubilation. Jouer était l’allégorie même de son existence. Et elle ne perdait jamais. Absolument jamais. Même si cela signifiait tricher. Pas de notions manichéennes. « Quel esprit dichotomique que tu as-là ! C’est très moche de songer ainsi, mon ange. Et tu sais ce que j’ai envie de faire, à ce qui est moche ? » Elle s’approcha de lui, de façon presque indécente. Avant de lui susurrer à l’oreille : « Je le détruit. » Il jouait avec ses cheveux noirs de jais, comme dans une tentative presque désespérée de l’appâter. Mais Feyre n’était pas aisément dupée. Notamment parce qu’elle pouvait prévoir les coups de son adversaire. Parce qu’elle pouvait presque prédire le futur proche, rien qu’en laissant les pans de son esprit envelopper les êtres qui se trouvaient autour d’elle. « Je sais que t’aurais préféré passer un moment qu’avec moi, mais disons que j’ai besoin de ton aide – oui, oui, je dois bien l’avouer. » Ricanement sardonique alors que ses prunelles se levèrent en direction du ciel. L’impertinent l’agaçait de plus en plus. La Mormont voulait en finir. Le plus rapidement possible. Parce que cet homme ne l’inspirait aucunement. Pas comme les délicats maîtres de l’air qui accaparaient tout son temps. « Disons qu’avec le virus et le manque de pratique, j’ai la tête sens dessus-dessous. C’est pas toujours pratique. Alors j’ai besoin que la grande Feyre Mormont m’aide à mettre de l’ordre dans tout ça. Qu’en dis-tu, hm ? Toi, moi, une abomination et des heures de plaisir ? » La pernicieuse haussa les épaules, pas véritablement emballée par le programme qu’il lui exposait là. Parce qu’elle avait plutôt prévu de passer les dernières heures du jour à planter ses griffes dans tous les jolis minois qu’elle croiserait afin de s’assurer une débauche de luxure interminable. « Je comprends que tu ais envie d’admirer le maître. Moi-même, j’aime à contempler l’étendue de ma puissance. Tu veux que je t’aide à retrouver l’entière maîtrise de ton pouvoir ? Très bien. Mais tout service mérite salaire, tu sais. Et les miens sont particulièrement coûteux. » |
| | | Anne-Marie Osanos water nation‹ MESSAGES : 888 ‹ AVATAR : marion cotillard ‹ CRÉDITS : cookie sauvage the talented one (av) leslie (gif) ‹ COMPTES : a. bol, m. bel
‹ AGE : QUARANTE-SEPT; l'élixir introuvable, c'est le temps qui afflige son corps, la jeunesse n'est plus depuis longtemps déjà. ‹ STATUT : MARIEE; la déesse s'est détournée du kraken, fuyant sa folie et ses idéaux corrompus, elle ne l'a jamais aimé. ‹ SANG : ARGENT; insouciance de l'ichor, elle est vivante avant tout, à la sève vermeille et précieuse. ‹ POUVOIR : EAU GUERISON; fluides changeants, mais demeurant en son sein, elle se voit désormais bénie de la compassion faite pouvoir, permettant à la déesse de soigner les plus malheureux. ‹ METIER : MERE; le giron criant à l'absence de la progéniture, les jambes parcourant milles lieux pour les retrouver. ‹ ALLEGEANCE : ENFANTS; lula et hyppolite passeront avant tous, elle ne s'intéresse guère aux batailles de couronne et ne cherche que la paix d'antan.
| Sujet: Re: the woods are lovely dark and deep (feyre) Mer 6 Juin 2018 - 16:32 | |
| La carcasse de corail, bouche béotienne, se tordit en un sourire des plus carnaires : les articulations masculines avaient frappé leur cible de leur mesquine moquerie — et la réaction de la maîtresse n’en était que plus délicieuse. « Tu ferais bien de tenir ta langue, imbécile. Ou tu vas finir par t’étouffer avec. » Les gloussements qu’elle invoqua d’entre l’émail résonna en l’esprit malin ; et ainsi s’était-elle faufilée jusqu’à lui, silencieuse, imperceptible. Il se fit l’écho de son rire, tortueuses mélodies qui s’élevaient en chœur dans le brouhaha terrible de cette taverne infernale. « Seras-tu celle qui me la fera ravaler ? » L’œil brillait de cet éclat si obscène, la lèvre s’étirait mauvaisement. « J’ai toujours été une femme, Tobias. Tu étais simplement trop aveuglée par ta Griffith pour le remarquer. » Et le jeu se termina : sourire effacé et iris d’océan orageux. D’un geste vif, il attrapa son poignet, et l’enserra entre ses doigts malingres — en lui, rongeait le noir de son âme : âpre réaction à ce nom dérobé. « T-t-t-t, n’évoquons pas les sujets fâcheux, Feyre. Laisse donc ma Griffith en dehors. » qu’il laissa suinter d’entre ses lèvres, venin affreux qu’il disséqua dans ses paroles froides : parce qu’il berçait l’illusion d’être maitre de lui, et affranchi des ombres du passé. Parce qu’il berçait l’illusion de l’insouciance, et de l’âme joueuse : ainsi alors énonça-t-il l’idée qui avait germé dans sa caboche quelques heures plus tôt (ou était-ce jours ? il avait perdu bien vite la notion du temps). Amusement sanguinaire, là était tout ce qui l’intéressait désormais : non plus les vieux livres, non plus l’empathie du prochain, mais les maux et les supplices qu’il pouvait délivrer — oh, et quelle délivrance ! Elle rit, la maligne, et il sourit face à l’effet qu’il lui faisait : la pièce avança sur l’échiquier, il fit tomber un de ses pions blancs (pour ce qu’il était indéniablement le noir chevalier, souverain nocturne et fauve). « Quel esprit dichotomique que tu as-là ! C’est très moche de songer ainsi, mon ange. Et tu sais ce que j’ai envie de faire, à ce qui est moche ? » La pièce tombée se révéla être une des siennes ; il était le blanc fou, jeune novice dans ce grand jeu auquel il ne connaissait rien. Avait-il lâché son fin poignet qu’il ne s’en était aperçu : sans doute était-ce une des machinations pantomimiques de la cruelle. « Je le détruis. » qu’elle chanta à son oreille, enlaçant leurs joues l’une à l’autre, embaumant la cervelle du pauvre dans une tornade de senteurs exotiques. Mais il n’avait pas dit son dernier mot, vieux Tobias, et d’une main dans ses cheveux de jais, il lui répondit en écho : « Me détruire, c’est vraiment là ce que tu veux ? Non, laisse-moi te faire une proposition plus raisonnable. » Jamais n’avait-il été un grand stratège : alors préféra-t-il jouer l’honnêteté, peut-être la seule carte qu’il connaissait réellement — bien qu’aujourd’hui son jeu grandissait peu à peu, apprenant des plus grands. Il lui avoua, de sa voix de miel, les troubles maladifs, les ambitions jaffarines : il pensait voir en elle briller l’éclat de l’envie, il pensait la voir crier au génie. Elle ne fut qu’ennuyée. Déception, mais la partie n’était pas terminée : voilà qu’elle mord à l’hameçon, et redonne au garçon son sourire malveillant. « Je comprends que tu ais envie d’admirer le maître. Moi-même, j’aime à contempler l’étendue de ma puissance. Tu veux que je t’aide à retrouver l’entière maîtrise de ton pouvoir ? Très bien. Mais tout service mérite salaire, tu sais. Et les miens sont particulièrement coûteux. » Laissant ses mains rouler sur le corps de la compagne, les doigts marchèrent avec délice sur l’épiderme obscur, trainant en longueur et en lenteur. « Dis-moi tout, ange. Ce pouvoir, j’en ai besoin. Celui que j’étais a été trop con de le laisser prendre la poussière, il est temps de faire le ménage. » qu’il admettait de nouveau ses fautes, ses erreurs : il regrettait, amèrement, de n’avoir été que l’agneau docile, là où il aurait pu être le terrible loup. Il était désormais temps de rattraper le temps perdu : plus personne ne l’entraver — les seuls vestiges d’autrefois le soutenaient pleinement dans sa chrysalide. « Ton prix est le mien, tu n’as qu’à le nommer. » |
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